Le blog de femme-infidele-a-insulter
Il est 9h00 du matin quand je sors de ma douche. je suis en congé. Il faut dire que le début de semaine avait été très laborieux à mon boulot. Entre les rendez vous pour l’organisation de certains évènements et mon boulot à l’accueil de l’immeuble, il y a des moments ou je ne sais plus ou donner de la tête. Mais aujourd’hui, c’est vendredi et c’est relâche comme on dit. j' enfile mon léger peignoir en satin refermé par une simple ceinture nouée devant. Lorsque je passe devant le grand miroir du hall, je constate que le décolleté et la fente qu’offre la légèreté de ma tenue sont des plus ravageurs mais ce n’est pas très important car aujourd’hui je suis seule à la maison.
Une journée de détente et de calme sans stress et sans courir. Je regarde par la fenêtre qui de la cuisine donne sur le grand jardin à l’arrière de la maison en buvant mon café. Je pense aux changements que mon mari aimerait y apporter, les projets et les plans qu’il m’a montrés il y a quelques semaines.
J’étais perdue dans mes pensées quand la sonnette de la porte d’entrée retentit. Un peu agacée d’être dérangée si tôt le matin, je traverse la cuisine puis la salle à manger avant d’arrivé dans le salon ou je peux regarder discrètement par la fenêtre qui cela peut être. Je me penche légèrement et voit un homme dressé devant la porte qui attend un colis à la main. Il y a devant la grille de la maison une camionnette de livraison. Encore une commande de Patric, mon mari certainement.
Sans prendre la peine de resserrer mon peignoir, je vais ouvrir la porte. Le regard du livreur me regarde de haut en bas, je constate qu’il avale sa salive, visiblement troublé par ma tenue. je suis assez fière de lui faire cet effet. Quand il se reprend il me dit :
- - « Bonjour, suis-je bien chez Monsieur Richard ? »
- - « Oui, je suis Sonia, son épouse »
- - « J’ai un colis pour votre mari madame »
Le livreur me montre une boite en cartons de la taille d’un bouquin d’une main et dans l’autre il me tend un document.
- - « Il faut signer le document pour réception madame »
- - « Entrez, je vous en prie. »
- Je prends le papier des mains du livreur et le pose sur une petite commode dans le hall d’entrée de la maison. Quand je me penche pour y apposer ma signature, je constate que le livreur qui
ne devait pas avoir plus de 24 ou 25 ans avait les yeux plongé dans mon décolleté. Il faut avouer qu’il est bien profond. je ne me dépêche pas le moins du monde, bien au contraire, je prend tout
mon temps pour offrir a cet homme une vue qu’il n’est pas prêt d’oublier. Lorsque, toujours penchée en avant, je lève les yeux vers lui, il détourne le regard gêné et se comporte comme s’il
n’avait rien vu. Cette timidité séduisante m’excite et je sens monter le désir en moi.
- « Voila qui est fait »…
je me redresse et tend la feuille au jeune homme mais je la lâche juste avant que celui-ci ne puisse l’attrapée. Je m’abaisse immédiatement pour la ramassée et dans le même temps, je tire sur la ceinture de mon peignoir pour qu’elle se détache. Quand je me redresse, mon mince vêtement est totalement ouvert et je me retrouve nue face au livreur qui n’en croit pas ses yeux et qui reste comme pétrifié devant moi sans pourvoir bouger ni même dire le moindre mot. Décidemment il faut que je prenne les choses en main alors sans attendre, je prend la main du jeune homme et la pose sur ma poitrine. Il me caresse enfin les seins qui pointent immédiatement. Tout en léchant mes lèvres, je pose ma main sur le sexe du livreur et je sens qu’il bande déjà bien dur. L’envie de prendre cette grosse bite en moi se fait de plus en plus pressante.
- « Viens, suis moi »
Sans dire un mot le jeune homme me suit dans la salle à manger ou je m’installe sur la table, les jambes grandes ouvertes. Je sentais ma chatte trempée.
- « baise-moi maintenant »
Le jeune homme me regarde incrédule mais sans rien dire, il détache son pantalon qu’il fait descendre sur ses chevilles et il fait de même avec son boxer. Je découvre enfin sa belle queue dressée
fièrement. Il s’approche lentement et la place à l’entrée de ma grotte d’amour. Je n’en peut plus, je me redresse suffisamment pour placer mes mains derrière les fesses du livreur et l’attire
d’un coup vers moi pour que sa queue me pénètre sans ménagement. je le regarde avec des yeux avides de sexe.
- « Vas y, baise moi, défonce moi la chatte »
En entendant ces paroles, le jeune homme m’attrape par les cuisses et me lime de plus en plus rapidement en gémissant très fort. Il me défonce comme je le veux à grand coup de rein. Je gémissais très fort. j’ ai l’art de savoir ce qui excite les hommes, certainement grâce à mon expérience, je sais comment m’y prendre avec chacun sans les connaître et pourtant chaque homme est tellement différent mais toujours le même aussi quelque part. L’excitation était visiblement tellement forte qu’après avoir fait juste quelques vas et viens, il éjacule sur mon ventre.
Le livreur était terriblement honteux de ne pas avoir su se maitrisé pour me donner plus de plaisir. Il attrape son boxer et son pantalon qu’il relève en même temps à la hâte avant de me regarder mais sans me faire le moindre commentaire de peur d’avoir une remarque désobligeante peut être. pour ma part j’étais partagée entre le sentiment de ne pas en avoir eu assez et la satisfaction que ce jeune homme n’ait pu tenir plus longtemps tellement je l’avais visiblement excité.