Il y a plusieurs années de cela, c’est pour l’accueil que j’ai été engagée dans cet immeuble de bureau mais petit à petit, à force de faire mes preuves
lors de petites organisations qu’on me demandait de temps en temps, mon activité principale au sein de l’immeuble à changée. Maintenant, je suis surtout l’organisatrice officielle de tous les
évènements officiels ou moins officiels des entreprises qui occupent l’immeuble. Cela ne m’empêche pas de temps à autres de retourner derrière ce comptoir que j’ai occupé pendant des années dans
le hall d’entrée. Quand j’arrive au boulot vers 8h00, je passe d’abord dans mon bureau pour y déposer mon sac puis je vais dans le hall de l’immeuble pour diriger et renseigner les différents
visiteurs parfois perdu devant les immenses panneaux renseignant l’étage des entreprises ainsi que les bureaux des différentes fonctions. Il est vrai que dans l’état actuel de l’économie, les
noms et les attributions changent relativement régulièrement.
Que je sois à ce poste ou dans mon bureau, je suis toujours habillée de manière sexy, c’est dans ma nature. Même si certain me trouve trop provocante, nonante pour cent de mes collègues comme je
les appelle ou des visiteurs me trouve très agréable et si je garde ce poste depuis si longtemps c’est que je convient parfaitement en tout point.
Aujourd’hui je suis toute de blanche vêtue. Des chaussures a très haut talon, une mini jupe que certain appelle même micro jupe au vu de sa longueur ou plutôt de son manque de longueur et un top
blanc lui aussi, moulant et profondément décolleté. Quand je me regarde dans le miroir, il n’est pas rare que je me dise que j’ai l’air d’une vraie petite salope mais j’aime ça.
Installée derrière mon ordinateur, je vérifie s’il n’y a pas de changement depuis la semaine dernière quand un type grand, mince, élégant en costume cravate se présente devant moi. C’était la
première fois qu’il se présentait dans l’immeuble et vu la taille de celui-ci, il voulait des renseignements pour se rendre auprès de l’acheteur avec qui il avait rendez vous. Il était en effet
délégué commercial d’une grosse entreprise.
Pendant qu’il me parle je le regarde droit dans les yeux. j’avais un crayon à la main que je le porte à ma bouche pour le lécher et le sucer comme si c’était un sexe d’homme. j’adore allumer les
mecs de cette manière et tenter de leur faire perdre leur moyen. Je remarque immédiatement que le délégué qui ne devait pas avoir plus de 35 ans, n’est pas insensible à mon petit manège et au
fond de moi, j’en étais très excitée. Après l’avoir écouté attentivement, de ma voix la plus suave et sensuelle je lui donne tout les renseignements qu’il veut.
- - « vous serez toujours à votre poste après mon rendez vous ? »
- - « Tout dépend de la durée de votre rendez vous mais je pense que oui.
Le type repartis avec un grand sourire et en me faisant un petit clin d’œil.
Quand il redescend toujours le sourire aux lèvres, il vient immédiatement dans ma direction
- - « Alors votre rendez vous c’est bien passé ? »
- - « Oui vraiment bien, très productif. »
Je le regarde d’un air coquin voir même cochon. Je sais avoir le regard d’une véritable salope quand je le veux. Le délégué prend la parole timidement.
- - « Puis je me permettre de vous inviter à déjeuner ? »
- - « Je vais être très franche avec vous. »
Ces premières paroles ont pour effet de stressé et de désemparer quelque peu cet homme apparemment très sur le lui en temps normal mais Je poursuis :
- « Les seules rencards que j’accepte sont ceux qu’on me fixe dans les toilettes du sous sol. »
- « Dans ce cas, je vous en fixe un dans trois minutes ? »
Sans me laisser le temps de répondre, il se dirige immédiatement vers cet endroit de soulagement guidé par les petits panneaux fixé aux murs.
Très excitée par cette réaction, une minute plus tard, je lui emboite le pas. Lorsque j’arrive au sous sol, je le vois appuyé contre le chambranle de la porte des WC pour homme. je m’approche de lui lentement. Dès que je suis en face de lui, le type m’attrape par la nuque pour tirer mon visage vers lui et il me roule une pelle d’enfer. Nos langues se touchent et se caressent dans un savant mélange de salive qui a le gout du désir. Pendant que nous nous embrassont, je descend ma main jusqu'à l’entre jambe du délégué et lui touche la queue, la caresse, la masse, la presse au travers de son pantalon de costume. Il bande très fort et je ne lâche pas prise.
je le pousse ensuite à l’intérieur des toilettes et je m’accroupis devant lui. C’est là, quand j’ouvre les jambes en m’accroupissant qu’il remarque que je ne porte rien sous ma jupe ce qui l’excite encore plus. Lentement je défais sa ceinture, détache le bouton avant d’abaisser sa braguette puis descend son pantalon ainsi que son boxer sur ces chevilles. Je découvre une queue fièrement dressée devant mon nez. Je la prend dans ma main droite pour le branler doucement pendant que de la main gauche, je lui palpe les couilles.
Je sort ensuite ma langue de ma bouche pour lécher le gland doucement avant de prendre sa queue entière dans ma bouche et de commencer des mouvements de vas et vient qui sont au fil du temps de plus en plus rapide. Pendant que je le suce, je ne cesse de lui tripoter les couilles que je sent de plus en plus grosses. De temps en temps, je lève les yeux pour lui lancer un regard de chienne assoiffée avant de reprendre mon vas et vient de plus belle avec ma bouche gourmande. Grâce à la position dans la quelle je me trouve, il peut mater mes seins nu dans la profondeur de mon décolleté.
- « Ho putain, c’est bon, t’arrête pas salope. »
C’est le genre de commentaires qui m'excitent et qui me pousse à m’activé de plus belle sur cette bite de plus en plus grosse. Parfois je m’arrête de sucer pour le masturbé vigoureusement puis
d’un coup je le reprend encore plus profondément dans ma bouche pulpeuse. Il passe sa main dans mes cheveux en s’y agrippant parfois.
- « Tu suce bien salope, t’arrête pas, c’est bon. »
Je n’avais pas envie de stopper c’est certain, je voulais qu’il jouisse alors mes mouvements s’accélèrent encore jusqu'à ce que ce que j’ attend arrive enfin. Dans un râle de plaisir à peine contenu, le liquide chaud se déverse dans ma bouche. Je continue quand même, Je ne veux pas en perdre une goutte, je veux l’intégralité du contenu de ces bourses au fond de ma gorge. j’ avale avec application chaque goute de ce liquide précieux qui se déverse dans ma bouche. Je garde la queue dans ma bouche pour la nettoyer convenablement et c’est seulement après que je la laissera ressortir. J’aime le sperme et ce type s’en est maintenant parfaitement rendu compte. Lorsque je me redresse et pendant qu’il remonte son pantalon, il me dit :
- « J’aimerais te revoir »
Voila une petite phrase qui a le don de me faire sourir, un sourire plus emprunt de tendresse qu’autre chose.
- « Pour le prochain rendez vous que tu auras ici, je serai probablement présente »
C’était une réponse claire, un refus de rester en contacte avec lui dit poliment. Je n’aime pas avoir d’amant fixe, c’est une source de problème.